Saintseiya-story : RPG du manga mythique
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Saintseiya-story : RPG du manga mythique

Incarnez un personnage du manga de Masami Kurumada et participez au RPG afin de poursuivre l'histoire.
 
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 Le journal de Pandore

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Pandora
Prêtresse d'Hadès
Pandora


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Date d'inscription : 09/02/2006

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MessageSujet: Le journal de Pandore   Le journal de Pandore EmptyMer 5 Avr - 21:59

( /!\ Attention poste long! /!\ )


Un servant des enfers entra dans les appartements de Pandora en Guidecca. Connaissant cette femme comme très exigeante, il venait vérifier si elle n’avait besoin de rien. Cependant, cette dernière dormait. Ses traits d’habitude si impassible paraissaient étrangement sereins. Sa pâleur et son immobilité étaient telles qu’on aurait pu la croire morte.

Le journal de Pandore Bscap023

Le servant savait parfaitement que ce n’était pas le cas. Il ne l’avait jamais vu combattre, mais son autorité et son pouvoir la montraient comme quelqu’un à ne pas agacer. Soudain, l’œil du servant fut attiré par un livre d’une une petite table, éclairé par une torche non loin. Il s’approcha et l’ouvrit pour voir ce que c’était. Il fut frapper de constater qu’il s’agissait du journal intime de Pandora. Son cœur bondit. Toute la vie de la jeune femme avant son arrivée ici devait y être inscrit. Qu’y aurait-il de mal à le lire ? Elle n’en saurait rien puisqu’elle dormait ! Alors, discrètement et attentivement, il se plongea dans la lecture de ce livre interdit. Cependant, les premières lignes lui firent peur, en même tant qu’il les lisait, il avait l’impression d’entendre la Maîtresse des Spectres les lui dire.

Quiconque lira ces lignes interdites verra sa vie sombrer dans les ténèbres dont Hadès m’a sauvé.

Le servant sursauta, tournant avec peur la tête vers Pandora. Elle dormait toujours, perdue dans les limbes de ses rêves. Décidément, il avait véritablement l’impression que Pandora elle même lui avait dit ces paroles. Plus surprenant encore, cette phrase était écrite en rouge sang. Avec tout ce qu’il avait pus voir aux enfers jusque là, il réussit à se demander si cela n’avait pas été écrit avec du vrai sang. Rien que cette idée le fit frissonner. Il hésita à poursuivre. S’il savait bien une chose sur cette mystérieuse femme, c’était que ses menaces n’étaient pas à prendre à la légère. Si elle ne les exécutait pas dans l ‘immédiat, elle le faisait tôt ou tard. Cependant, sa curiosité était bien trop grande, il voulait savoir qui était cette femme à qui Hadès avait conféré le pouvoir d’ordonner aux Spectres pour lui. Alors il poursuivit, ne commencent cependant pas par les première ligne mais quelques paragraphe plus loin :

« Pour beaucoup, la vie commence à la naissance, mais pour moi, ma vie a vraiment commencé la nuit où j’ai rencontré Hadès pour la première fois.
Ce jour là, j’étais en cours. Comme d’habitude, je passais les récréations seules. Le vampire, le fantôme, la muette… Voici quelques surnoms que me donnaient mes camarades de classe. Dés ma plus tendre enfance, mes parents m’ont toujours mise dans des écoles pour riches. Cette année, où j’avais 8 ans, ne faisait pas exception. Toujours est-il que ce jour là, je fus appelée dans le bureau du directeur. Toute suite, tous mes camarades se moquèrent de moi, prenant pour hypothèse que j’avais dû faire une bêtise ou, pire, tué quelqu’un. Moi même j’étais inquiète en allant au bureau. Mais j’étais loin de me douter de ce qui allait se passer. Une fois dans le bureau il me souhaita le bonjour et me demanda si tout ce passait bien en classe. Je lui répondit que oui, pui il y eu un bref silence. Puis le directeur repris, grave :

-Je suis désolé de vous apprendre ça mademoiselle, mais… Vos parents ont eu un accident. Ils sont maintenant à l’hôpital.

Je me rappelle être resté figé sur place. Je n’arrivait pas à croire à cette nouvelle, comme s’il c’était adressé à quelqu’un d’autre.
Lorsque je sortis de mon mutisme, j’étais déjà à l’hôpital. Une aide-soignante me conduisait à la chambre de mes parents. C’était à peine si j’entendais ce qu’elle m’expliquait. Je fini par entrer dans la chambre de mes parents, sous ma demande insistante, l’aide soignante sortit. Je m’approcha de mon père et ma mère, je m’assise sur un fauteuil entre leur lit. Chacun avait des pansements et des bandages un peu partout pour couvrirent leurs blessures. Tout deux encore étaient perfusé. La vision m’étais dur à accepter.

-Maman… Papa…
-Ma chérie… C’est toi ?

Maman tourna la tête vers moi. Je posa ma main sur la sienne et répondit :

-Oui maman. On est venu me chercher en cours. Que c’est-il passé ?
-Je ne sais pas vraiment. Nous étions en voiture pour aller au travail quand une lumière nous aveugla. Ton père n’a plus contrôlé la voiture et nous avons quitté la route. Ensuite je ne me souviens que d’un rire.

Je la sentais souffrire, j’en avais presque mal pour elle. Des larmes commencèrent à couler sur mes joues.

-Maman ! Papa ! Restez avec moi s’il vous plaît ! Je ne veux pas être toute seule !
-Ca ira ma chérie, ne t’inquiète pas. »


Le servant passa quelques paragraphes.


« Je restais là, sur la balançoire, le regard dans le vide. J’avais l’habitude d’être seule à la maison, mes parents travaillant beaucoup. D’habitude, je n’étais pas inquiète, mais aujourd’hui j’avais de quoi l’être. De plus, je ne comprenais pas quelle était cette lumière dont maman m’avait parlé. Ce jour-ci le ciel était nuageux, le soleil avait été à peine visible. Alors qu’est-ce que c’était ?

-Un cosmos…
-Hein ?

Je relevais la tête vers la personne qui venait de parler, d’une voix terriblement sombre et majestueuse. Je ne pus voir qu’une silhouette emmitouflée dans une longue cape sombre, à la place de son visage, j’avais l’impression de voir l’univers. J’étais déjà tellement secoué que cette vision ne m’étonna guère. Il poursuivit suite à mon interrogation et m’expliqua ce qu’était la cosmo-énergie. Je l’écouta attentivement, le désir de tuer la personne possédant ce cosmos montant peu à peu en moi. Tel un feu que l’on attise mais ne pourra jamais être éteint que par du sang. Une fois son explication terminée, je le vis qui commençait à partir.

-Attendez ! Lui criai-je

Il se tourna juste suffisamment pour me voir. Je m’étais levée de la balançoire et avait fais quelques pas vers lui. J’étais aux bords des larmes quand mes questions franchirent mes lèvres presque malgré moi :

-Qui êtes-vous ? J’ai l’impression de vous connaître depuis toujours. Croyez-vous que moi aussi je pourrais m’élever au cosmos et ainsi venger mes parents ?
-Je suis Hadès, Gardien des enfers et des morts. Tu es parfaitement capable de maîtriser ton cosmos. Je sais que tu y arriveras, même si tu ne l’as pas encore découvert pour le moment. Mais j’ai confiance en toi, ta force est grande, elle ne demande qu’à être éveillé.

Il disparut, sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit de plus. Je mis un certain temps avant de me rendre compte que je pleurais. Avais-je pleuré devant lui ? Je ne sais plus, et je ne crois pas l’avoir su. »


Cette fois-ci, le servant passa quelques pages et en survola plusieurs avant de s’arrêter sur un paragraphe qui lui paraissait intéressant.


« Un jour, on vint frapper à la porte. Encore seule à la maison, car mes parents étaient toujours dans le coma à l’hôpital, j’ouvris. Je ne pu voir qu’un homme à contre jour, mais je constatais que ses cheveux étaient rouge sang. Je fus soudain frappé en moi-même. J’étais sûr que c’était lui, il n’y avait aucun doute. C’était l’homme qui a pratiquement tué mes parents ! Il savait que je l’avais démasqué, voila sûrement pourquoi il me souriait ainsi. Un sourire exécrable, celui qu’on les gens lorsqu’ils se croient maître de la situation et bien supérieurs, un sourire rieur et hautain. Pourquoi mes parents m’avaient-ils demandé de ne pas chercher à me venger ? Je ne pouvais pas laisser partir ce monstre !

-Alors ? M’interpella-t-il. Mademoiselle désire-t-elle un combat ?

En plus il me provoquait ! Il avait augmenté son cosmos pour tenter de m’intimider. Il est vrai que je n’avais toujours pas découvert le mien, mais je ne pouvais laisser passer une telle occasion ! Alors je m’écartai de la porte, le laissant entrer. Combattre dehors n’aurait pas était des plus discret. Tandis que si notre combat à l’intérieur ameutait du monde, je pourrais toujours inventer une excuse valable.
L’inconnu entra et s’avança dans le couloir. J’avais à peine refermé la porte qu’il lança déjà une attaque que j’évitai de justesse. Il eu un nouveau sourire, un sourire satisfait, comme ceux qui trouve enfin quelque chose avec quoi s’amuser un temps. Je n’étais pas disposer à ma laisser battre, il le savait. Aussi attaqua-t-il. Ses attaques étaient assez lentes par rapport à ce que j’avais appris sur la rapidité des gens maîtrisant le cosmos. Je compris alors qu’il voulait me fatiguer. Soit, mais je n’allais pas me laisser faire. Voici pourquoi, au lieu de reculer comme je le faisais au début, je me mis à avancer pour esquiver. Ca m’était beaucoup plus difficile. D’autant plus qu’il fini par comprendre mon idée et qu’il accéléra donc les assauts. Il me transperça l’épaule, m’arrachant ainsi un gémissement de douleur, car je refusais de lui donner le plaisir de m’entendre crier. Toujours à genoux au sol, je sentis soudain sa main enserrer ma gorge. Il était trop tard pour moi à présent…

*Non… Je n’ai pas le droit de me laisser vaincre ! Pas part lui !* Pensai-je. *Mais j’ai mal… Je suis trop faible, je ne peux rien contre lui. Il maîtrise déjà ce que moi je n’ai même pas réussis à percevoir… Je ne pourrais jamais le battre…*
*Pandora, reprends-toi !*

Je reconnu instantanément la voix d’Hadès dans ma tête.

*Relève toi immédiatement !*
*Mais… Hadès-sama…*
*Tu peux le vaincre. Rappelle-toi mes paroles. J’ai confiance en toi. Ta puissance est grande, tu ne la soupçonnes même pas.*
*Mais j’ai beau le haïr, je n’arrive pas à me contraindre à lui porter le moindre coup !*
*N’oublie pas une chose Pandora : si tu ne le tues pas, c’est lui qui te tuera. Tiens-tu à mourir ? Souhaites-tu me revoir en tant qu’âme perdue dans les enfers ? Que veux-tu ?*
*Non ! Je veux vous revoir de mon vivant… Je… Je… Je ne veux pas vous décevoir, je veux être digne de votre confiance! Je veux venger mes parents et pouvoir moi-même envoyer leur meurtrier aux enfers ! Je veux que les Hommes comme lui payent de la souffrance qu’ils infligent !*

Alors, soudain, une aura d’un pourpre instance m’enveloppa. Je sentis une grande puissance s’éveiller en moi. Doucement, je me relevai, lançant un regard glacé à mon adversaire qui parut se figé sur place. Moi je me dégagea de son étreint et le frappa au bas ventre avant de m’élancer dans le couloir, cherchant quelque chose des yeux. Je trouvai l’objet de ma recherche dans le salon où mon adversaire aux cheveux de sang me rejoignit. Il fut surpris de me voir tenir un trident. Sans doute pensa-t-il que je ne savais pas m’en servir, car il s’élança sur moi, prés à me frapper. D’un ample mouvement circulaire, je lui créa une entaille de l’épaule au bassin. Ce fut à son tour d’exprimer sa douleur. Fou de rage que je l’ai touché il me bouscula. Dans ma chute, j’essaya de me rattraper à la harpe, mais les cordent se brisèrent sous mon étreinte. Un horrible son terrifiant s’en échappa provoquant un éclair noir et violet qui frappa mon adversaire de plein fouet.

-Sale garce ! Tu ne l’emporteras pas au Paradis !
-Non en effet, comme toi j’irais en enfer… Sauf que moi j’y serai encore en vie et je veillerai à ce que tu y sois puni de mes mains…

Perdant l’esprit, il sauta sur moi, et il s’empala sur mon trident que j’eu le temps de placer entre nous. Quelque chose en moi se brisa et mes mains commencèrent à trembler alors que je le voyais mourir. Je lâcha mon armes, reculant de quelque pas, ne voyant que mon adversaire agonisant. Je me rappelle que mes jambes c’étaient dérobées sous moi, me retrouvant à genou au sol, des larmes coulant sur mon visage. Ma victime eu un léger rire, rauque et étranglé à cause du sang qui envahissait sa bouche.

-Je le savais… Tu es puissante de cosmos mais bien trop faible de cœur… *crache du sang* Tu m’as haï mais c’est ta peur qui ta fais prendre le dessus. Tu serais incapable de tuer quelqu’un de sang froid ! Même moi qui ai tué tes parents, tu te vois brisé de m’avoir tuer ! arg…

Il s’écroula dans un dernier souffle, se moquant de ma fragilité. Tout ce qu’il disait était vrai. Je tremblait et pleurait de sa mort, effrayer par moi-même qui l’avais tué. Je ne su que plus tard que mes parents étaient morts à l’instant où lui-même mourut. Je me rendis aussi coupable de leur mort.»

Le servant passa encore quelques paragraphe, trop absorbé par sa lecture pour remarquer quoi que ce soit.


« Il était tant pour moi de rejoindre Hadès. Je n’avais plus aucune attache dans le monde des mortels. Tout m’y était gris, amer, sans saveur. Je ne souriait plus de rien, ni ne trouvait quoi que ce soit pour me distraire un tant soit peu. J’étais devenue une femme sombre et impassible, sans aucun sentiment diraient certain. Toute ma vie je l’avais passé seule ou à souffrir. Dans les moments difficile, personne n’était là et je devais me débrouiller. Tandis qu’Hadès m’avais aidé en me rendant courage à deux moments critique. Ces derniers mois je ne pensais plus qu’à lui, à mon sauveur, mon seigneur, mon frère… »


Dernière édition par le Dim 7 Mai - 20:46, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Le journal de Pandore   Le journal de Pandore EmptyMer 5 Avr - 21:59

-Son frère ? Pensa le serviteur tout haut en levant le nez du journal.
-Tu en sais un peu trop j’ai l’impression. Déclara une voix sombre mais délicate.

Le journal de Pandore Bscap096

L’homme sursauta, Pandora c’était éveillée et l’observait à présent, son trident à la main. Il se leva précipitamment, laissant tomber la chaise et lâchant le journal.

-Pa… Pardon ! Je… Je ne voulais pas être indiscret ! Je…
-Tu l’as pourtant été. La lecture t’a-t-elle plus au moins ?

Il ne répondit pas, trop effrayé par sa supérieure malgré ce qu’il venait de lire. Elle poursuivit, le visage impassible malgré la colère qu’on pouvait sentir émaner d’elle :

-Si tu tiens à connaître la suite, je suis venu au château d’Einstein, guider par quelqu’un d’autre que moi-même malgré le fait que sa Majesté m’ai dit où commençait son domaine. J’y suis resté durant plusieurs jours sans que personne ne vienne me voir. Je passais mes journées à jouer de la harpe en l’honneur de sa Majesté. Il vint me voir plusieurs jours après et m’offrit les signes qui font aujourd’hui de moi la Maîtresse des Spectres. Sa décision n’a pas été ouvertement contestée, mais j’avais bien conscience que vous n’acceptiez pas que je sois une femme. Alors j’ai fermé mon visage à toute expressions afin de ne pas me trahir. J’ai juré de tout faire pour est digne des honneurs que m’a fait Hadès. Je n’ai pas le droit de tuer de Spectre, et jamais je ne le ferai sans son ordre… Mais toi tu n’es qu’une âme perdue qui a eu le droit de venir jusqu’ici simplement pour nous servir. Comme tu en sais beaucoup trop, je n’aurais donc aucun regret à te tuer pour de bon !
-N… Non, pitié Lady Pandora ! Je vous jure que je ne dirais rien à personne !
-Ho, mais ça je le sais, puisque tu n’existeras plus !

Son cosmos brilla, et la lance parut vibrer de vie. L’arme s’abaissa et trancha l’âme perdue qui se désintégra. Cette âme avait en faite été celle du meurtrier de ses parents. Etant mort, son âme avait oublié sa vie mortelle. S'il était encore là, c'était à cause des remords que la jeune femme avait eus au départ. A présent il en avait trop lu et donc trop sus. Personne hormis Hadès n’avait le droit de savoir qui elle était.

*Hadès-sama ô… Mon frère bien aimé...*

Pour elle, sa vie importait bien moins que celle d’Hadès. Elle observa son bracelet, sa bague, puis son trident, ces trois présents offerts par le seigneur des lieux. Ces cadeaux, elle en prenait grand soin et en était fière, sans pour autant les arborer pour assoire une quelconque supériorité sur les Spectres. Délicatement, elle reposa l’arme, puis alla dans une salle conjointe à la chambre. Là se trouvait une harpe, peut-être moins imposante que celle se trouvant au château d’Einstein, mais tout aussi belle. Elle s’installa, puis commença à jouer, en l’honneur de celui qu’elle aimait comme un frère…

Aucune émotion n’était visible sur le visage de la Dame Noire malgré son acte précédent. Avait-elle tellement changé ? Etait-elle devenue une femme capable de tuer sans regret, ou n’était-ce qu’une façade pour cacher une sensibilité encore vive ? Qui le sait…
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